SIR_IZBAK_1ST - Piège (briser la coalition, 1).

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Un imbécile. Il aurait du s'en douter, que ça cachait quelque chose.
Ca y était, orcs et démons avaient trouvé un terrain d'entente. C'est pour ça que les orcs n'agissaient plus comme d'habitude. C'est pour ça qu'il avait pu trouver une arme démoniaque sur un orc.
Arunis? un être de paille, juste là pour emmener les Chevaliers au loin. Les orcs d'Akmas aussi. Il fallait créer le danger au nord pour que le sud se relâche. Et ça avait marché. Maintenant il est seul pour empêcher une invasion.
Un seul moyen, rompre l'alliance entre orcs et démons. Et pour ça assassiner dans les deux camps. Sa spécialité.

Se décide finalement à quitter la lisière de la forêt pour s'y aventurer plus profondément.

: Joueur recherche MJ pour quête perso!

Tu t'enfonces donc dans la forêt, vers le rempart est.
Il fait nuit, mais la pleine lune offre une lumière suffisante pour y voir à 10 ou 20 mètres.
Cette forêt est trop dangereuse pour être ordinairement arpentée et cartographiée, l'avancée se fait donc quasiment à l'aveugle.

Tu ne tardes pas à entendre des bruits métalliques. Les chocs viennent d'une clairière non loin.
En te cachant derrière un chêne centenaire inanimé, tu peux observer l'objet de se désordre.

En face, un charretier orque finit de charger son chariot, attelé à un vieux roncin poussif. Il bâche son chargement avec quelques peaux de bêtes.
Derrière, un tas de roches sombres. Une belle anthracite.
A gauche du tas, l'entrée d'une galerie, dans laquelle 2 humains en guenilles poussent un wagonnet. au fond, un forgeron orque rebat des pics et piolets, usés par le travail.
Aucun garde à l'horizon.

J'essaie de me rapprocher de l'ensemble de ces éléments tout en restant à couvert à la lisière de la clairière, en évoluant de tronc d'arbre, le plus silencieusement possible, et en écoutant s'il n'arrive pas quelque chose depuis la forêt.

Les humains ont disparu dans la galerie, le forgeron est occupé à son travail. Le charretier remonte sur sa charrette (navré pour la laideur de la phrase)

Bon. J'attends que le chariot et son conducteur se soient remis en chemin, et je les suis en restant caché dans mes arbres jusqu'à ce qu'on soit hors de vue et de bruit du forgeron et des mineurs.

La charrette s'éloigne péniblement sur un petit chemin boueux. Elle descend, d'après tes repères, vers le sud.
La suivre ne pose pas de difficultés, et personne d'autre ne semble emprunter ce chemin.

Personne? J'accélère un peu le mouvement pour parvenir au prochain mouvement à sauter sur le charretier. Je suis toujours parmi les arbres, mais cette fois je ne fais pas trop attention au bruit.

Le vieil orque se retourne, t'aperçoit, fait mine d'accélérer mais le canasson est incapable de tirer une telle charge plus vite.Tu n'a pas trop de mal à rattraper l'équipage, mais l'orque se retourne pour t'affronter avec une petite lame rouillée.

Désolée, j'en avais trop envie!

Je saute à l'arrière du chariot et j'essaie de soulever la bâche de ce côté pour en recouvrir mon redoutable adversaire.

Tu parviens à soulever la lourde peau qui vient aveugler Einstein, et qui maintenant brasse l'air de manière désordonnée.
Il finis par tomber au sol dans cet épique combat de l'orc contre la peau de bête.

Pris de pitié pour le malheureux étouffant sous la bâche, J'essaie de l'achever d'un grand coup de lame dans ce que j'estime être la tête.

La lame traverse la bâche pour atteindre le crâne.
La pauvre créature n'a pas le temps de dire "aïe".

IZBAK (Lame d'Azazel) attaque Guzgob le boiteux.
PV initiaux : 50.
Attaque Théorique : 250Dg.
Attaque Finale : 250Dg.
Dégâts Reçus : 220Dg.
PV restants : 0.
Résistance de la bâche: 30

Ca sait dire "aïe", un Orc? Quoi qu'il en soit, je balance celui-là plus loin dans les arbres.

Je rattrape si besoin le chariot, replace la bâche, et lui fais faire demi-tour, direction les environs de la mine. Je m'arrête avant que le chariot soit visible par le forgeron. Petite observation discrète.

Le forgeron est toujours au travail.
Sa forge est placée dans une petite cahutte ouverte sur le devant, vers le tas de charbon.
Un nouveau wagonnet émerge de la mine, poussé par deux humains. Ils commencent à en vider le contenu. Ils y sont enchaînés.

"Enchaînés" signifie certainement "pas alliés des Orcs", donc "ne me feront pas ch#r en plein boulot". Je passe à l'action.

Je détache la bête de somme, laissant le chariot là ou il est, et donne un coup de sangle sur la fesse gauche de l'animal avec pour intention de le faire partir en courant vers la clairière et d'attirer l'attention du forgeron. Je grimpe ensuite dans un arbre proche.

Le piège est grossier, mais bon, c'est un Orc, en même temps...

La bête hennit de façon à exprimer son désaccord (je lui donne +1 en résistance à cette pauvre bête), mais se lance en direction du campement. Elle le traverse, et le forgeron lâche son marteau pour tenter de la rattraper. Les humains observent la scène d'un air amusé...
Et comme c'est gentiment suggéré, le IZBAK, gagne +1 en réfléxion.

J'attends quelques instants au cas où il abandonnerait rapidement la poursuite, puis je m'approche des prisonniers pour voir s'ils savent comment je peux les libérer...

Ils sont hirsutes, crasseux, l'air hébété, et à vrai dire ne semblent pas comprendre. Ils ne disent mot, et ont l'air effrayés.

Forcément...

Bon, ben on va prendre la méthode "sans dialogue" : je ramasse le marteau du forgeron, et je fracasse les attaches du chariot avec.

Tu frappes les chaînes au marteau sur le bord du wagonnet, mais elles tiennent bon.
Après bien des tentatives, les pauvres erres se mettent à se recroqueviller au pied du wagonnet, l'air bien plus terrorisés qu'auparavant.
Un orc patibulaire et balafré vient de s'extirper de la gallerie. Il porte aumusse de cuire, broigne et fouet.

Eh ben tant pis pour les prisonniers, je gagne du temps en poussant le wagonnet de toutes mes forces vers l'entrée de la mine, espérant lui donner assez de mouvement pour l'envoyer au loin avec le garde.

Tu commences à pousser le wagonnet, mais l'un des esclaves tombe et sa jambe passe entre la roue et le rail. Le tout avance encore un peu puis s'arrête.
L'orque n'est pas content que l'on abîme sa main d'oeuvre, et il le montre :

Gorgor (Fouet) attaque IZBAK
PV initiaux : 125.
Attaque Théorique : 100Dg.
Attaque Finale : 50Dg.
Dégâts Reçus : 50Dg.
PV restants : 75.
Résistance du vêtement : 5
Modificateur de bonii du vêtement : 0,85

Un beau manteau tout neuf! Fabriqué avec amour par la couturière d'Yfris!

Je reprends en main l'objet le plus proche (Aile d'Azazel ou masse de forgeron), et j'entreprends d'aller lui expliquer ma façon de penser! D'un grand coup en travers de la tête!

La lame, encore une fois, lui ouvre le crâne (Epées +1). Le monstre s'étend de tout son long à l'entrée de la gallerie.

IZBAK (Aile d'Azazel) attaque Gorgor
PV initiaux : 100.
Attaque Théorique : 250Dg.
Attaque Finale : 250Dg.
Dégâts Reçus : 150Dg.
PV restants : 0.

J'écoute un peu les bruits alentour au cas où le forgeron reviendrait, puis je me préoccupe de mes 2 humains...